Rainmen - Freedom lyrics
rate meYo, mon seul but c'est de parler pour faire comprendre les armées
Que le diable sans cesse se fout de nos gueules depuis des années
400 ans jamais oubliés, ceux qui ont été souillés et soûlés
Des descendants de Dieu qu'aujourd'hui sont troublés
L'histoire se fait rare, beaucoup de jeunes l'égarent
Ne sachant d'où elle vient, d'où elle démarre, je commence le débat
Haussez vos marches, il faut se débattre
La guerre se déclare, le sang écarlate sur les armures
Des faces d'hommes remplies d'amertume sur ces bateaux
Exportés d'un continent à d'autres horizons
Des esclaves, fâcheusement se révoltent, et brisent leurs menottes
Et la police, on les aime pas, parce que le passé ils évoquent
Moi, les barricades je les débloque, les fausses rumeurs je les stoppe
Les 4 démons se rendent visibles, mon troisième oeil perce l'âme
Jamais je jette les larms de pitié ou même la perte d'amitié
Yo, tes amis te connaissent trop et deviennent tes pires ennemis
Jalousie et l'envie, les gens qui souffrent sont toujours ceux qui ont menti
Déjà ressenti le mal remporté sur le gentil
Regarde Malcom, Luther King et Ghandi
Dire que la vie est toujours belle, j'aurais tort
Quand il s'agit de l'histoire, oublie les métaphores
Mon esprit subit les coups de fouets, le raciste se manifeste
Les flics sont tous laids, sont tous laids
On est tous de la galère de longs trajets ou naufragés
Outragés, aux dos gravés, bourradés de toutes parts, découragés
Rassemblés pour aller à travers les routes barrées
Faut regarder, voir que le racisme c'est un fléau journalier
Sous plusieurs formes, il s'intègre dans le mental de l'homme
Sur le microphone, je dois parler avec des textes énormes
Des esclaves en furie sèment le ravage, la haine et la rage
M'abritant comme la sainte paix d'un homme sage
C'est le temps de passer le message
Prêt à causer du saccage, entame la marche
On sort des cages mentales et cesse le trucage
Dans mon sang y coulent les souffrances
Pendant que le diable agit en outrance
Nos âmes se rajeunissent aux rebords de la fontaine de Jouvence
Coeur de glace, mon clan et moi on marche les rues, tous chiens, connaissants
Tous confiants, soldat comme Toussaint
Écoute mon ouvrage, comprends que je m'adresse à tout âge
Tes yeux aveugles ne voient que ma peau est un outrage
Pourquoi tu me refuses, la peur c'est un prétexte, les gens en abusent
De plus en plus, j'y fais face, pourquoi tu fais ta laide face
Pourquoi t'aimes pas nos faces, quand on se pointe dans la place
Pourquoi tu craches, en disan que les noirs prennent ton job
Ta femme, ton cash. Disant qu'on bloque le passage
Allez, juge-moi, traite moi de sale noir dans tes bouquins, nos femmes de bouzins
Mais t'as pas la force pour tuer mes frères et cousins, nos soeurs et cousines
Nous tous, en train de boire du rouquin
C'est une routine, tout le monde se précipite pour juger
Les préjugés créent une discrimination et créent une autorité
On est tous de la galère de longs trajets ou naufragés
Outragés, aux dos gravés, bourradés de toutes parts, découragés
Rassemblés pour aller à travers les routes barrées
Faut regarder, voir que le racisme c'est un fléau journalier
On est tous de la galère de longs trajets ou naufragés
Outragés, aux dos gravés, bourradés de toutes parts, découragés
Rassemblés pour aller à travers les routes barrées
Faut regarder, voir que le racisme c'est un fléau journalier
On est tous de la galère de longs trajets ou naufragés
Outragés, aux dos gravés, bourradés de toutes parts, découragés
Rassemblés pour aller à travers les routes barrées
Faut regarder, voir que le racisme c'est un fléau journalier