Sexion D'Assaut - Rien N' T'appartient lyrics
rate meAdams :
On dit que ce monde est un mirage donc en faite rien n’est acquis,
Le diable joue avec nous et avec un rien nous taquine,
On se fatigue mais tout part vite comme dans un karting où ta future carcasse
est garée dans ton parking.
Le jour se lève et mon heure fait encore un pas,
J’me tape chaque jour pour rendre à Dieu mon Corps intact,
Car toutes mes affaires en faite s’appellent revient et quand je serai dans ma
tombe personne me dira je te rejoins.
A la mairie elle t’appartient pour la vie, mais cinq ans plus tard avec un autre
elle parcourt la ville,
Quant au succès il t’appartient pas, t’accroches Ap, Si tu loupes le co-ch, le
public te fait un croche-pattes.
Tous ce qu’on t’a prêté tu le rends même ce que tu bouffes tu le rechies,
Dis-leur chut ! , L’argent est un fidèle poto dealer de shit.
Dès le choc que j’ai reçu en sachant qu’on était seul j’me suis dit : « Mehlich
il m’reste la foi donc j’mets mon front au sol. »
Gims :
Rien n’tappartient, tu t’attaches aux biens,
T’es amis ta famille, toutes ses choses qui t’animent…
Mais un jour tout s’arrête, sa frêne ta joie de vivre !
Tes attaches, tes habitudes tout est limité !
OwooohOhh OwoohOhh OwoohOhh
OwooohOhh OwoohOhh OwoohOhh
Maska :
A vouloir tout posséder tu finis par rien avoir,
On sait bien que tout nous quittera mais notre âme ne veut pas le voir,
Si la vie est une prison le bonheur est au parloire.
Tu t’es vendu pour du liquide car ton honneur n’est qu’une passoire !
Accroché au matériel belek Akhi c’est qu’un nuage,
Du quelque des soucis qui vont te noyer, il faut que tu nages.
T’aimais Madame à en mourir, Aujourd’hui c’est lui qu’elle aime
Avec la même Fougue qu’y’avait dans vos nuits de rêves !
Le propriétaire ne fait que louer une terre jusqu’à ce que sa mort
Ce monde t’appartient autant qu’Hitler avait de remords
La vie est-elle une illusion à laquelle on s’accroche
Ou la plus grande des convictions pour laquelle l’homme devient atroce ?
Même mon corps n’est qu’une location j’evite les tattouages,
On s’imagine à la retraite bien qu’on puisse partir à tout âge
Attaché grave à ton pote mais c’est ton pote qui t’a poucave
Il se fouttait de la belle époque …. Il a tout avoué !
La Fille :
Tout est voué à l’échec, les belles villas les grosses caisses,
Six pieds sous terre rongé par les vers ...!
Tout est voué à l’échec, quelque soit ton style de vie !
Enfouie sous terre même tes partenaires te laissent solos.
Gims :
Rien n’tappartient, tu t’attaches aux biens,
T’es amis ta famille, toutes ses choses qui t’animent…
Mais un jour tout s’arrête, sa frêne ta joie de vivre !
Tes attaches, tes habitudes tout est limité !
OwooohOhh OwoohOhh OwoohOhh
OwooohOhh OwoohOhh OwoohOhh
La Fille :
Tout est voué à l’échec, les belles villas les grosses caisses,
Six pieds sous terre rongé par les vers ...!
Tout est voué à l’échec, quelque soit ton style de vie !
Enfouie sous terre même tes partenaires te laissent solos.
Gims :
Rien n’tappartient, tu t’attaches aux biens,
T’es amis ta famille, toutes ces choses qui t’animent…
Mais un jour tout s’arrête, sa frêne ta joie de vivre !
OwooohOhh ( Rien N’tappartient !) OwoohOhh (Tu t’attaches aux biens )
OwoohOhh ( Tes amis ta famille, toutes ces choses qui t’animent )
OwooohOhh ( Mais un jour tout s’arrête) OwooohOhh ( Sa Frêne ta joie de vivre )
OwoohOhh
Adams :
On t’laisse solo sans tes sos et sans tes frolons
Seul, on t’laisse solo sans tes mômes et sans ton salon
Seul, sans tes « loufts » t’es comme au ballon seul
Seul.
Gims :
RIEN N’TAPPARTIENT !!!
Adams :
On t’laisse solo sans tes sos et sans tes frolons
Seul, on t’laisse solo sans tes mômes et sans ton salon
Seul, sans tes « loufts » t’es comme au ballon seul
Gims :
RIEN N’TAPPARTIENT !!!
Adams :
On t’laisse solo sans tes sos et sans tes frolons
Seul, on t’laisse solo sans tes mômes et sans ton salon
Seul, sans tes « loufts » t’es comme au ballon seul
Gims :
RIEN N’TAPPARTIENT !
NI TA FEMME ! NI TES MARMOTS NI TES BIENS !
RIEN N’TAPPARTIENT !
Rien n’tappartient…
RIEN N’TAPPARTIENT !
NI TA FEMME ! NI TES MARMOTS NI TES BIENS !
Rien n’tappartient…