Buck 65 - Rough House Blues lyrics
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Je file sur la route, me sentant mal tantôt Du blues profond et brûlé, mais je préfère mourir que pleurer La nourriture de la station de gaz qui s'en va pourrir inévitablement, il y a Un sort dans l'air et une lune en croissant d'ongle d'orteil En effet certaines de ces villes sont encore peu amicales Et voilà le marteau qui tua John Henry Je suis malade d'être fatigué, malade du cirque de la vie Ici, le rêve éveillé d'une serveuse en épouse parfaite Complètement inappropriée, prise hors contexte Nervosité dégénérée, je développe un complexe Pas si bien et désargenté, le reste sera à emporter Une âme comme une poêle à frire, et le visage comme un torchon Un million de vieux films, je suppose que je raconterais Des souvenirs d'enfance, réminiscences olfactives « Et puis quoi maintenant ? » tu pourrais demander, ben c'est difficile à dire Parce que ce vieux valet de carreau n'est pas une carte facile à jouer Toutes les mauvaises raisons, juste un autre crâne à briser Interroger la poussière, je suis coincé dans un cul-de-sac Et ça va sembler fou, mais pour moi la menace est très réelle C'est pourquoi je chante des chansons d'amour et je porte un feu Femmes et guerre, cafards et animaux écrasés Pas de réponse facile, pas de date limite, rien de sophistiqué J'ai pigé, j'ai reçu l'avertissement J'emballe mes affaires, je m'en vais au matin Je conduis toute la nuit, je suis parti voir mon ami Un jour cette route sera ma fin Maintenant les collines viennent à la vie et le moteur est mort Cet homme a un zéro qui flotte autour de la tête Je suis mes instincts, parfois je suis des chiens Je bois de l'eau vaseuse, je dors dans des rondins creux « Et puis quoi maintenant ? » tu pourrais demander, ben c'est difficile à dire Parce que ce vieux valet de carreau n'est pas une carte facile à jouer.